La commémoration de l'attentat de Nice, qui devait avoir lieu ce vendredi, a été décalée d'une journée. Ce report provoque la grogne des familles de victimes, qui trouvent cette attente insoutenable. "C'est trop long parce qu'on est dedans. Moi, mon mari, je l'ai vu au sol et je ne sais pas pourquoi je suis vivante aujourd'hui", raconte Véronique, qui a perdu son mari dans l'attentat. En tout, les familles des 86 victimes, originaires de 19 pays différents, seront présentes lors de la commémoration.