En meeting en Moselle mardi soir, Nicolas Sarkozy a défendu les suppressions de postes parmi les forces de l'ordre intervenues pendant son quinquennat. En pleine grogne des policiers, il a estimé que la sécurité n'était "pas une question d'effectifs", mais de "chaîne pénale". "Si les policiers et les gendarmes continuent à arrêter des délinquants qui sont immédiatement remis dans la nature, rien ne changera", a-t-il martelé.