Sous les bombes depuis de longs mois, la ville d'Alep n'est plus qu'un vaste champ de ruines. La population, coincée par l'affrontement entre forces loyalistes et insurgés, tente de fuir ; l'aide humanitaire n'arrive pas.
L'ONU, par la voix du secrétaire général adjoint aux Affaires humanitaires Stephen O'Brien, appelle «les parties au conflit et ceux qui ont de l'influence à faire tout leur possible pour protéger les civils et pour permettre l'accès à la partie assiégée d'Alep-est avant qu'elle ne devienne un gigantesque cimetière».