Alors que l’Assemblée nationale a débattu, jeudi 1er décembre, sur l’extension du délit d’entrave à l’IVG, la question de la position personnelle de François Fillon sur l’avortement amplement évoquée pendant l’entre-deux tours de la primaire de la droite et du centre, a refait surface. La ministre des familles, de l’enfance et des droits des femmes Laurence Rossignol a accusé François Fillon d’avoir menti.