Ses propos sur Fidel Castro ne passent décidément pas. Invitée pour les funérailles du leader cubain le 4 décembre, Ségolène Royal a défendu le bilan du Lider Maximo, jusqu'à rejeter les accusations de violations des droits l'Homme. Critiquée immédiatement, la ministre a continué à être la cible des politiques et des éditorialistes lundi 5 décembre.