Sur le Brexit, Theresa May veut tout. Le beurre et l’argent du beurre. La Première ministre britannique a répété qu’elle donnera la priorité au contrôle de l’immigration, tout en espérant pouvoir continuer à commercer le mieux possible avec l’Union européenne.
Theresa Maybe? Britain’s prime minister is struggling to come up with an agenda for Brexit pic.twitter.com/VKcDGqOBr9— The Economist (@TheEconomist) 7 January 2017
“Il est erroné de considérer cela comme une simple question binaire, soit vous contrôlez l’immigration, soit vous avez un bon accord commercial, a répété Theresa May. Ce n’est pas un problème dichotomique. Une fois sortis de l’Union européenne, nous allons être en mesure de contrôler l’immigration et de fixer nos règles pour les personnes en provenance de l’UE. Mais nous allons aussi travailler pour obtenir les meilleures relations commerciales possibles avec l’UE.”
Great to see government plans for #brexit coming along nicely: pic.twitter.com/vZA6DPddcV— Richard Corbett (@RCorbettMEP) 8 January 2017
A ceux qui accusent son gouvernement d‘être confus sur le Brexit, elle répond qu’elle refuse de dévoiler sa stratégie avant le lancement officiel de la procédure de divorce en mars. Un divorce dont l’Ecosse ne veut pas.
“Le gouvernement britannique fait une grosse erreur s’il pense que je bluffe, prévient Nicola Sturgeon, Première ministre écossaise, deux ans après que l’Ecosse a rejeté l’indépendance. On nous a dit alors que voter “non” à l’ indépendance écossaise était le seul moyen pour rester dans l’UE, et nous faisons face maintenant à une possible sortie, c’est désormais une question beaucoup plus fondamentale pour l’Ecosse.”
En juin 62% des Ecossais avaient voté contre le Brexit, à l’opposé des autres Britanniques. Nicola Sturgeon agite la menace d’un nouveau référendum, mais les sondages indiquent que, malgré le Brexit, les Ecossais redoutent l’indépendance.
A ceux qui accusent son gouvernement d‘être confus sur le Brexit, Theresa May répond qu’elle refuse de dévoiler sa stratégie avant le lancement officiel de la procédure de divorce en mars. Un divorce dont l’Ecosse ne veut pas.
“Le gouvernement britannique fait une grosse erreur s’il pense que je bluffe, prévient Nicola Sturgeon, Première ministre écossaise, deux ans après que l’Ecosse a rejeté l’indépendance. On nous a dit alors que voter “non” à l’ indépendance écossaise était le seul moyen pour rester dans l’UE, et nous faisons face maintenant à une possible sortie, c’est désormais une question beaucoup plus fondamentale pour l’Ecosse.”
En juin 62% des Ecossais avaient voté contre le Brexit, à l’opposé des autres Britanniques. Nicola Sturgeon agite la menace d’un nouveau référendum, mais les sondages indiquent que, malgré le Brexit, les Ecossais redoutent l’indépendance.