Si suivre Arielle Dombasle et Nicolas Ker avec une caméra pendant 24 heures ressemble autant à un long dérapage incontrôlable, c’est certainement parce que c’en est un. Du Café de la Danse à l'intérieur chaotique du chanteur le hyperactif de sa génération, c'est parti pour 5 minutes dans la fureur, la fumée et... l’ivresse.