C'est un constat général au vu des interventions des uns et des autres à la cinquième Conférence des Grandes chancelleries d'Afrique francophone Subsaharienne et de la France qui s'est tenue du 20 au 22 octobre à Cotonou, capitale béninoise: les Grandes Chancelleries dans les pays francophones d'Afrique d'une manière générale, n'ont pas la place qu'elles méritent au vu de leur mission de promotion de l'excellence et des valeurs de mérite, de travail, d'intégrité qui fondent toute société harmonieuse.