Une parent d'élève, dont le fils a été à l'école avec le lycéen présumé auteur des coups de feu dans un lycée de Grasse jeudi, a affirmé qu'il était déjà "assez marginal". "C'était déjà un garçon pas très intégré au groupe", a-t-elle ajouté. "Mon fils me racontait hier qu'il dessinait sur ses cahiers des dessins assez morbides, c'était un enfant qui ne se liait pas au groupe", a-t-elle expliqué.