Minutée, orchestrée, formatée, dans la suite d'un palace ou sur un coin de plage, l'interview cannoise est un genre en soi. Aujourd'hui, Mathieu Almaric, qui ne nous parle pas ici de "Un conte de Noël", d'Arnaud Desplechin, mais de "De la guerre", de Bertrand Bonello, présenté à la Quinzaine des réalisateurs.