L'ancien candidat à la primaire de la droite et du centre a estimé "trop facile" de rejeter toutes les responsabilités de la défaite des Républicains au premier tour de la présidentielle sur François Fillon. Pour Bruno Le Maire, "le mal remonte à 2012". "Nous n'avons pas voulu nous réinventer, nous n'avons pas voulu nous renouveler", a-t-il déploré, fustigeant notamment le retour de Nicolas Sarkozy à la tête du parti en 2014.