"Parfois, on se trompe de porte. Cela peut arriver", assure à l'Assemblée nationale le député du Nord Ugo Bernalicis (FI) au sujet d'actions antiterroristes réalisées dans le cadre de l'état d'urgence. Voyant Eric Ciotti en discuter, il l'interpelle et lui demande quelle serait sa réaction s'il était lui-même victime de cette erreur.