L’apiculteur Eric Riquier s’occupe des cinq ruches installées sur le toit du Palais Garnier. Face à l’augmentation de la mortalité des abeilles liée à l’utilisation de polluants, il défend l’apiculture urbaine.
Nichées au pied de la grande coupole qui surplombe Paris, les 5 ruches du Palais Garnier produisent chaque année un miel rare, vendu dans la boutique de l’Opéra de Paris 15 euros le pot de 125 g. Nous avons suivi l’apiculteur Eric Riquier sur le toit du monument historique. Pour lui, « travailler en ville est un privilège » car les traitements phytosanitaires y sont interdits dans les espaces verts depuis 2014.