Joshua Wong et deux autres dirigeants étudiants du « mouvement des parapluies » ont été condamnés en appel à plusieurs mois de prison ferme. Ce mouvement avait organisé des manifestations en 2014 pour réclamer plus de démocratie.
Que leur reproche-t-on exactement à ces trois militants ?
Cette condamnation peut-elle déstabiliser les partisans de la démocratie à Hong-Kong ?
Pékin a-t-elle peur de voir surgir d’autres voix dissidentes dans les territoires autonomes ?
Jean-Philippe béja, sinologue et politologue répond aux questions de Josselin auditeur de Canton dans Appels sur l'actualité.