"Ce n'est plus possible (...) c'est pire que sous Hollande, pire que sous Sarkozy", estime Etienne Trautmann, accompagnateur de montagne et membre du collectif citoyens des professionnels de la montagne. Des structures d'accueil des migrants existent à Briançon ou encore à Gap, mais elles sont gérées par des bénévoles, dont certains sont proches "du burn-out".