Trois jours après la collision, samedi, d’un tanker iranien avec un navire de fret chinois en mer de Chine orientale, le Sanchi brûle toujours, avec un risque d’explosion à 300 km à l’est au large de Shanghai. Les autorités chinoises craignent aussi que les 136 000 t de condensats, des hydrocarbures légers, ne se répandent dans la mer, ce qui provoquerait une terrible marée noire. Des bateaux de nettoyage ont été dépêchés lundi soir sur le lieu de l’accident afin de contenir les fuites d’hydrocarbures.
Retrouvez l'info en temps réel avec Le Parisien : >> http://www.leparisien.fr/#xtor=AL-1481423430