La circulaire sur l’hébergement d’urgence a créé l’indignation des associations de défense des droits humains. Le texte prévoit que des équipes mobiles composées notamment de membres de l'Office français de l'immigration et de l'intégration puissent contrôler des migrants dans des centres d’accueil. Une manière pour les associations d’effectuer des contrôles et de dépister les personnes n’ayant pas de papiers. La justice a été saisie.