L'économiste, auditionné jeudi par les députés, a affirmé que les "effets macroéconomiques" de l'émergence des start-ups sont "infinitésimaux" par rapport au "déclin progressif de l'ancienne industrie". Selon lui, le fonds pour l'innovation de rupture proposé par le gouvernement, doté de 10 milliards d'euros, est insuffisant pour développer "pleinement" la filière.