Question un peu gênante pour le Prince Albert ce mercredi sur le plateau de Public Sénat. En effet, SAS a dû se justifier sur le qualificatif de «paradis fiscal» que l’on attribue souvent à Monaco. A tort, a-t-il soutenu.
«Je me suis déjà exprimé déjà plusieurs fois là-dessus. Je pense que la Principauté,d’ailleurs, qui est sortie de toutes les listes qui existent ne répond plus, peut-être à une certaine époque, mais ne répond plus, et ce, depuis quelques années,aux critères qui définissent les paradis fiscaux» a-t-il indiqué en marquant quelques hésitations.
«On a un suivi qui est fait de façon très sérieuse et très systématique donc je suis très étonné que cette question revienne sans arrêt. Monaco ne répond plus depuis très longtemps à la définition d’un paradis fiscal» s’est-il empressé de finir.