Marlène Schiappa se défend. Critiquée pour avoir commenté les propos de l’avocat de Jonathann Daval, la secrétaire d’État à l’Égalité entre les femmes et les hommes persiste ce lundi.
«[px_nbsp:nbsp]Je ne suis pas intervenue dans une affaire judiciaire, je n’ai pas commenté ni une plaidoirie d’avocat ni une décision de justice. En revanche, j’ai alerté l’opinion sur le traitement sémantique et médiatique qui est réservé à toutes les affaires dans lesquelles les femmes sont victimes[px_nbsp:nbsp]» a-t-elle indiqué.
«[px_nbsp:nbsp]Moi, ce qui m’intéresse, c’est quel message est envoyé aux femmes qui sont victimes de viols, de violences et comment elles intériorisent le fait que, potentiellement, elles pourraient elles-mêmes être responsables des violences qu’elles subissent. Ce n’est pas la défense que j’ai jugé scandaleuse, c’est cette ligne du « victim blaming » a-t-elle encore fait valoir ajoutant qu’elle ne regrettait pas ses propos.