De plus en plus de politiques et de personnes membres d'associations humanitaires dénoncent le règlement de Dublin qui oblige les demandeurs d'asile à s'adresser au 1er pays d'entrée au sein de l'Union européenne. Conséquence : des pays du sud de l'Europe comme l'Italie ou la Grèce croulent sous les demandes, pendant que certains pays du nord préfèrent détourner le regard.