Après « En finir avec Eddy Bellegueule » et « Histoire de la violence », le romancier Édouard Louis signe un troisième ouvrage autobiographique : « Qui a tué mon père », publié aux éditions du Seuil. Une lettre d’amour dense, de tout juste 100 pages, à un père physiquement détruit sous forme de brûlot politique.