Arthur Melon, membre de l'association Agir contre la prostitution des enfants, a assuré que les jeunes filles victimes des réseaux de proxénétisme dans les cités "sont vulnérables, en rupture sociale, en rupture scolaire ou parfois familiales". "Des personnes vont percevoir qu'il y a une possibilité de mettre une emprise sur elles et de tirer profit de cette vulnérabilité", a-t-il ajouté.