Enfin, en ce qui concerne les privatisations à venir (ADP, FDJ…), la secrétaire d’Etat note qu’il n’y a pas «d’obligation d’aller vite». «Ce sont des chantiers compliqués, explique-t-elle encore, dans les deux cas il faut mettre en place la régulation prévue par la loi. Il y a des phases préliminaires à mettre en œuvre, cette loi nous donne un feu vert mais pas d’obligation, ni de précipitation, à agir.»