L’entreprise américaine va mal... Elle ne pourra pas créer les postes promis, comme elle s’était engagée à le faire en 2015 lorsqu’elle avait racheté la branche énergie d’Alstom. Elle s’expose à payer des pénalités. Mais la question n’est même plus celle-ci, aujourd’hui le vrai sujet concerne les 10 000 postes que l’entreprise a en France.
Va-t-elle les maintenir ou les supprimer ?