Benjamin Griveaux est devenu l'une des bêtes noires des "gilets jaunes". Certains sont même allés jusqu'à défoncer la porte de son ministère le samedi 5 janvier dernier. Une situation hors norme pour un porte-parole dont le style divise plus que jamais. Même dans son propre camp, on reconnaît qu'il est "clivant". "Benjamin clive comme il respire. Il cogne, il frime, c'est dans sa nature", analyse dans Le Parisien Week-end le patron du groupe La République en marche au Sénat François Patriat.