Marine Le Pen, présidente du Front national, depuis devenu Rassemblement national (RN) est soupçonnée d'avoir rémunéré entre 2009 et 2016 des salariés permanents de son parti avec des fonds de l'Union européenne.
Ces sommes étaient destinées à des emplois d'assistants parlementaires. Le parlement européen a évolué le préjudice à 6,8 millions d'euros.
Interrogée par les juges à deux reprises, Marine Le Pen a toujours refusé de répondre aux questions mais a toujours nié les faits.