Selon la presse, en 1888, il n’y avait environ que trente Chinois à Montréal; à la fin des années 90, ils étaient près de 17 000. En quête d’une vie meilleure, désireux d’offrir un avenir à leurs enfants, les ressortissants de l’Empire du milieu sont prêts à trimer dur pour réaliser leur rêve. Travailler 18 heures par jour dans une buanderie ou un dépanneur, ce n’est qu’une manière d’acheter sa liberté.
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