C'est un sujet qui divise la population. Certains y sont très attachés alors que d’autres jugent cette réforme loin d’être indispensable. Après des années de résistance, l'Académie française s'apprête à reconnaître la féminisation des noms de métiers. Une commission doit publier un rapport, qui sera soumis au vote des académiciens fin février ou début mars. Dans le monde, plusieurs pays francophones comme la Suisse ou la Belgique utilisent déjà la féminisation des noms de métiers.