Les GAFA doivent désormais faire face à deux revers : le vote sur les droits voisins mais aussi le demi-tour opéré par Mark Zuckerberg ce weekend, le patron de Facebook estimant qu’il revient aux états et non aux entreprises privées de réguler internet. «Et entre temps, il y a quand même eu un impôt européen contre Google de 8 milliards ! ajoute Jacques Séguéla. Mais enfin, le plus « sale gosse de l’équipe », pour la première fois, agit. Et c’est un vrai signe car la première terreur qui nous attend si on ne fait rien contre les GAFA, c’est de se retrouver face à un état numérique qu’ils sont en train de construire !».
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