Environ 75 % des enfants vivant en France respireraient un air toxique, favorisant la survenue de maladies respiratoires.
Cela peut également favoriser d’autres maladies, comme le diabète ou la dépression.
Les enfants se révèlent beaucoup plus vulnérables que les adultes à la pollution de l’air.
Leur fréquence respiratoire est 50 % plus élevée que celle d’un adulte et leurs activités en extérieur plus fréquentes.
Un constat accablant qui pousse l’Unicef a réclamer davantage de mesures pour réduire la pollution de l’air.
L’organisation internationale préconise notamment de valoriser davantage les mobilités « douces ».