Réseaux sociaux, télévision, journaux, des informations tragiques envahissent notre quotidien tous les jours
Il y a une raison psychologique qui nous pousse à trouver ces événements tragiques fascinants
Néanmoins, ils nous entraînent dans un cycle de détresse
C’est le résultat d’une étude menée sur un échantillon de 4165 personnes pendant trois ans aux États-Unis
Elle s’est concentrée sur 2 attentats : celui du marathon de Boston en 2013, et la fusillade du Pulse en 2016
Un lien direct a été établi entre l’augmentation de la consommation d’actualités après l’attentat de Boston
Et un état de stress post-traumatique 6 mois plus tard
Les personnes étaient plus susceptibles de suivre la couverture médiatique des événements survenus au Pulse
L’exposition répétée à la violence dans les médias conduit à une détresse qui s’étend parfois sur plusieurs années
Les chercheurs recommandent « de modérer les aspects sensationnalistes de la couverture médiatique de ces événements »