«Notre objectif, aujourd’hui, c’est des parts de marché, ajoute encore notre invité. La rentabilité est repoussée mais Spotify n’est toujours pas rentable 10 ans après son lancement ! C’est vraiment ce mode start-up basé sur la part de marché. Après bien sûr il faudra trouver un vrai modèle économique qui viendra de la partie payante. Sur la gratuite, c’est le créateur qui choisira. Nous, nous ne rajouterons pas de pubs».
Mais certains créateurs de contenus se sont offusqués de la démarche Majelan, notamment Radio France. «Nous, on est là pour faire découvrir, explique Mathieu Galet. Au fond, on est une fenêtre d’exposition et de valorisation de plus. Il y a quelques créateurs qui n’ont pas envie d’y être. Ok. Nous, on est là pour mettre en avant. Mais beaucoup nous demandent depuis 48 heures comment faire pour être chez nous».