Deux députés rendent ce mercredi leur rapport sur la radicalisation dans les services publics. Des "phénomènes marginaux", assurent-ils, mais avec malgré tout des zones d’ombre. Ils affirment que la sécurité et l'Education sont peu touchés. Toutefois, il y a des motifs d'inquiétude dans les secteurs de la santé, de l'université, des transports et dans les prison...