Emmanuel Macron a réaffirmé mercredi son attachement à l'alliance entre Renault et Nissan peu après son arrivée à Tokyo pour sa première visite au Japon sur fond de tension entre les deux constructeurs automobiles. Le chef de l'État sera "vigilant" au droit de la défense de Carlos Ghosn et à sa présomption d'innocence, sans pour autant "s'immiscer" dans la justice japonaise.