En quittant l'Afghanistan, la France a rapatrié un peu plus de 200 Afghans menacés chez eux après avoir travaillé pour l'armée française. En revanche, certains, comme Jamil Baher, se sont vu refuser l'asile politique. Mais depuis décembre 2018, tout auxiliaire étranger de l'armée peut solliciter son droit à la protection fonctionnelle, après une décision du tribunal administratif. C'est ainsi que Jamil Baher a pu arriver en France au début du mois d'août. REPORTAGE