Le gouvernement français, critiqué pour sa gestion des suites de l’incendie de l’usine Lubrizol en Seine-Maritime, défend son action. Trois jours après le violent incendie qui a en partie détruit cette fabrique d’additifs pour carburants classée Seveso, en raison de sa dangerosité potentielle, la population s’inquiète de ses conséquences sanitaires et écologiques malgré les messages rassurants des pouvoirs publics.