7 mois après le début de la grève, les urgentistes font pression sur le gouvernement en optant pour un mode d'action inédit. Depuis un mois, une vingtaine d'établissements ne transmet plus les informations permettant à l'hôpital de facturer à l'Assurance-maladie les actes réalisés sur les patients, privant ainsi l'enceinte de rémunérations. Une manifestation est prévue ce mardi devant l'Assemblée nationale où sera débattu le budget des hôpitaux.