Il était resté discret jusqu'à présent dans ce conflit. A la veille de son départ de l'entreprise, Guillaume Pepy avertit les grévistes.
«Il faut que chacun soit conscient de ses responsabilités [...] Aucun client, aucun Français, ne comprendrait qu'à la SNCF on paye les jours de grève », a-t-il notamment expliqué. Une déclaration inacceptable pour certains agents grévistes, qui assurent que la direction refuse tout dialogue.
Un bras de fer loin d'être terminé, les grévistes réclament toujours une prime pour revaloriser leur travail et la garantie qu'ils n'auront pas de sanctions disciplinaires;