Emmanuel Macron a affronté vendredi la colère d'ex-salariés de l'usine Whirlpool d'Amiens et du député François Ruffin vendredi 22 novembre, qu'il était venu rencontrer sur place. « Le repreneur s'est planté mais c'est trop facile de mettre ça sur le dos de l'Etat », a répliqué Emmanuel Macron au milieu des salariés qui l'accusaient d'avoir été « berné » et de ne pas avoir anticiper l'échec de la reprise. Le Président de la République a répété à plusieurs reprises être aux côtés des salariés et ne leur avoir jamais menti. « L'engagement que je prends est que l'ensemble des salariés de Whirlpool retrouvent des perspectives et de l'emploi », a t-il affirmé avant de donner rendez-vous aux salariés dans un an.