Après le tollé provoqué par les propos de Nicole Belloubet sur l'affaire Mila, la Garde des Sceaux a reconnu sa faute sur Radio Classique. "Je n'aurais pas dû dire ça" a reconnu la ministre de la Justice, qui avait affirmé la veille: "L'insulte à la religion est une atteinte à la liberté de conscience".