Plus d'un salarié du secteur privé sur trois est désormais placé en chômage partiel par son entreprise. La ministre du Travail Muriel Pénicaud a annoncé les nouveaux chiffres sur Twitter. Le coût de la mesure devrait dépasser les 20 milliards d'euros, alors le gouvernement compte bien s'attaquer aux fraudeurs. Les entreprises qui cumulent chômage partiel et télétravail s'exposent à de lourdes sanctions, jusqu'à 2 ans de prison et 30.000€ d'amende pour le patron de l'entreprise incriminée.