Dans cette période compliquée, il est parfois difficile d'avoir accès à l'avortement. Les médecins pourront désormais utiliser la détresse psychosociale comme motif d'interruption volontaire de grossesse.
Olivier Véran a répondu aux craintes des associations dans une lettre où il indique que les médecins pourront utiliser la détresse psychosociale comme motif d'interruption de grossesse par aspiration. Il n'y a pas de changement législatif puisque l'IVG existe déjà.