Depuis le début de l’épidémie, des centaines de couturières à travers la France cousent bénévolement.
Elles cousent des masques, des blouses, des charlottes au personnel soignant et au grand public.
Mais à présent, elles estime que leur activité exige une rémunération.
Certaines d’entre elles travaillent entre 10 à 12h par jour.
Certaines couturières affirment que la quantité de travail fourni s’apparente désormais presque à du travail dissimulé.Â
Le travail exercé par ces couturières s’est révélé tellement efficace qu’elles ont reçu beaucoup de demandes.
C’est le cas d’associations, d’entreprises ou encore de collectivités territoriales.
Réunies à travers un collectif, Bas les masques, elles appellent à refuser de travailler bénévolement.