SEARCH
Un Français sur deux a pris du poids pendant le confinement
BFMTV
2020-05-06
Views
1
Description
Share / Embed
Download This Video
Report
Selon une étude, plus d'un Français sur deux a pris du poids pendant le confinement. 29% d'entre eux ont, à l'inverse, perdu du poids. En moyenne, les Français ont pris 2,5 kilogrammes.
Show more
Share This Video
facebook
google
twitter
linkedin
email
Video Link
Embed Video
<iframe width="600" height="350" src="https://vntv.net//embed/x7tq019" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
Preview Player
Download
Report form
Reason
Your Email address
Submit
RELATED VIDEOS
01:25
Les ados ont pris du poids durant le premier confinement
03:20
Pourquoi les enfants ont-ils pris du poids pendant la crise sanitaire ?
01:04
Pendant le confinement, un Français sur deux a pris l'habitude de prendre un petit-déjeuner correct
20:27
BFMTV répond à vos questions : Confinement, le poids de nos enfants inquiète - 19/01
06:09
Comment faire face aux prises de poids dues au confinement ? BFMTV répond à vos questions
01:18
Robert Ménard sur la fermeture des commerces: "Je ne conteste pas le bien-fondé du confinement, je conteste le deux poids, deux mesures"
00:51
Pierre Niney: pour Goliath, "Je voulais pouvoir parler à des gens qui défendent les intérêts de sociétés privées (...) j'ai pris que des bâches !"
01:21
"Les malades dépendants de la ventilation seront pris en charge" en cas de coupures selon le président de la société de pneumologie
00:55
Policier tué: pour David Le Bars, "l'État n'a pas pris la mesure de l'importance de renforcer le régalien dans une société qui se durcit"
02:27
Tirs de roquettes sur Israël: "Tout le monde a été pris par surprise" selon Julien Bahloul, journaliste et spécialiste de la société israélienne
01:58
Crash du vol Rio-Paris: "Le parquet a pris le parti de défendre les sociétés Airbus et Air France, pas les citoyens ni la sécurité aérienne", déplore la sœur du copilote
02:54
Otages du Hamas: "La société ne semble pas avoir pris la mesure de la gravité de cela", estime François Zimeray (président d’honneur de l’association des victimes du 7 octobre)
