Des rangées de collines recouvertes de végétation pourraient limiter les dégâts des tsunamis.
Elles constitueraient même une meilleure option que les imposantes digues de béton.
À l’heure actuelle, les digues géantes constituent l’approche classique pour atténuer le risque de tsunami.
Le Japon, par exemple, a construit des centaines de kilomètres de murs de béton de plus de 12 mètres à certains endroits.
Mais ces digues s’avèrent coûteuses, nuisent au tourisme local et aux industries de la pêche.
Les forêts littorales peuvent contribuer à atténuer la vitesse d’écoulement d’un tsunami lorsque celui-ci frappe les terres.
Ces monticules absorbent la puissance destructrice d’une vague de tsunami à peu près aussi bien qu’une digue en béton.