Z. Brzezinski, le véritable maître d’œuvre de la diplomatie américaine contemporaine. Brzezinski est
également l’employé des Rockefeller. Dans les années soixante-dix, c’est Brzezinski qui était allé chercher un petit sénateur sans envergure et totalement inconnu à
l’époque, Jimmy Carter. Avec le concours de la Haute finance new-yorkaise ainsi que celui du Groupe Bilderberg, les Rockefeller ont propulsé Carter à la
Maison-Blanche. De Carter à Obama il n’y a qu’un pas ! Par l’intermédiaire du président J. Carter, Brzezinski a pu mettre en œuvre une politique étrangère adéquate, assurant la suprématie des Etats-Unis dans le monde et tout particulièrement en Eurasie. Cette politique étrangère fut fondée sur l’alliance entre l’Amérique
et l’islam révolutionnaire. Si aujourd’hui des forces obscures ont placé simultanément Brzezinski aux basques d’Obama et Kissinger à celles de McCain, il faut bien y voir une
logique propre à ce pouvoir occulte qui n’agit que par « procuration ». Point commun entre Brzezinski et Kissinger : exiger un retour à la table de négociations avec les mollahs.Pour Brzezinski, l’Iran est la clé du Moyen-Orient, de l’Asie centrale et le point d’accès aux territoires de la Russie, de la Chine, de l’Afghanistan et de toute l’Eurasie. Sur l’échiquier de cette région, l’Iran est un pion vital pour le contrôle de la Russie et de la Chine. Or, rappelons que Brzezinski a toujours prédit la suprématie inévitable de la Chine sur les Etats-Unis.
Comme le monde, selon lui, glisse vers l’Est, il faut impérativement contenir la croissance chinoise. De ce
point de vue, une grave crise économique arrange les choses à la condition que les Etats-Unis puissent rester maître du prochain jeu monétaire.