Les psaumes apprennent « à ne pas s’habituer à la douleur », a expliqué le chef de l’Église catholique, car ils rappellent que « la vie n’est pas sauvée si elle n’est pas guérie ». La prière devient alors « relation », c’est-à-dire « un cri d’aide qui attend d’intercepter une oreille attentive ». En effet « pour Dieu, toutes les douleurs des hommes sont sacrées ».