Toute la classe politique condamne ce drame à Avignon. Tristesse et colère sont les deux mots prononcés unanimement par la classe politique. Pour certains, cette montée en puissance de la haine anti-policière était malheureusement prévisible. D'autres dénoncent quant à eux un manque de moyens donnés aux policiers qui luttent contre le tafic de stupéfiants. Enfin, beaucoup dénoncent aussi un manque de soutien aux forces de l'ordre, chaque jour un peu plus confrontés aux violences. Ce crime intervient alors que l'exécutif a mis la sécurité au premier rang de ses priorités, à un an de l'élection présidentielle.