Johnny Hallyday a donné un concert au Trianon, à Paris, le dimanche 15 décembre, pour l’association La Bonne Étoile, et après le super solo d’harmonica de Greg Zlap, Johnny lance à l’attention de madame Chirac : « Ah Bernadette ! Tu brûles dans mon cœur, c’est une illusion de douceur. »
1976 (T. Cole / adapt L. Chris - P. Larue)
The king is dead
Gabrielle
Tu brûle mon esprit
Ton amour étrangle ma vie
Et l'enfer devient comme un espoir
Car dans tes mains je meurs chaque soir
Je veux partager autre chose
Que l'amour dans ton lit
Et entendre la vie
Et ne plus m'essouffler sous tes cris
Oh! Fini, fini pour moi
Je ne veux plus voir mon image dans tes yeux
Dix ans de chaînes sans voir le jour
C'était ma peine, forçat de l'amour
Et bonne chance à celui qui veux ma place
Dix ans de chaînes sans voir le jour
C'était ma peine, forçat de l'amour
J'ai refusé, mourir d'amour enchaîné
Ah Bernadette ! Tu brûles dans mon cœur, c’est une illusion de douceur
Et tu chantes
C'est la voix d'une enfant
Avec laquelle tu glaces mon sang
Je veux t'expliquer
Tu confonds le jour et la nuit
Je veux t'approcher
Tu tournes le dos, tu t'enfuis
Oh! Sais-tu vraiment ce que tu veux faire
Je ne serai plus l'esclave de ta chair
Dix ans de chaînes sans voir le jour
C'était ma peine, forçat de l'amour
Et bonne chance à celui qui veux ma place
Dix ans de chaînes sans voir le jour
C'était ma peine, forçat de l'amour
J'ai refusé, mourir d'amour enchaîné…